Promenade lucrative [PV kim knight]

Qui étais cette femme pour lui enlever son seul type de distraction possible ? Gaspillez son argent pour ces enfants, quelle idée saugrenue, quel péché, si ceux-ci avaient été véritablement solidaires, ils auraient réfléchis, où aurait refusé la proposition du jeune homme. Une traître, il la voyait comme cela, mais au fond, il se devait d’avouer qu’il était jaloux de ce genre de personne, jamais Samuel n’avait ressenti le bonheur ou la passion en étant avec les autres, il n’avait presque jamais eu d’amis, et pour ceux qui l’avait été, leurs future avaient été bien sombre. Il ferma les yeux, soupirant d’un air exaspéré pour ensuite regarder cette jeune femme.

Il ne comprit pas au début, mais une douleur lui parcourut tout le corps, comme si une mini flamme s’amusait a se promener dans son corps pour ensuite monter jusqu'à son coup, croyant faire une attaque ou autre, il s’apprêtait a chuter, mais au contraire, la flamme s’accrocha a son cou, une marque commençant a faire son apparition. Il crut avoir eu un petit problème neurologique, rien de grave. Mais ce qui le surprit, c’est que les deux nekos, qui après avoir ramassés les médicaments qu’elle avait fait tomber, observait la jeune fille qui était recroquevillé et le regardait.

Autre fait étrange, elle n’avait point la peur dans ses yeux, ni l’ironie, ni le mépris, elle se contentait de le fixer, comme si il avait quelque chose d’étrange. Il eut un rictus énerver, c’était sa tête qui lui déplaisait, elle s’amusait a l’humilier en faisant semblant que son visage était tellement laid que elle en était effrayer, il se leva mais faillit tomber, son corps était engourdi, espérant qu’il n’allait pas lui faire le plaisir d’avoir une attaque devant elle, il marcha calmement, prenant sa veste dans sa main.

« Petite imbécile… tu te moque de moi ? »

Il avait l’air menaçant mais il savait que si cette jeune fille se mettait a le frapper, il aurait du mal a riposter, il ne supportait pas la douleur, et se battre lui était assez dur, il aimait faire souffrir les gens indirectement, par eux-mêmes, le faire par lui-même l’effrayait, signe de lâcheté évidemment.

Etrange, c’était étrange comme si le temps venait de s’arrêter … il y avait à peine quelques instants elle trouvait l’homme détestable mais soudainement elle eu l’impression de le respecter, l’admirait, l’adorait même !

Lorsque la douleur se dissipa enfin elle se sentit attiré par cette homme, elle avait enfin compris, elle l’avait enfin trouvé ! Par contre elle ne s’attendait pas à voir l’homme se plier sous la douleur, nombre de couple lui avaient dit que les deux individus ne ressentaient pas forcément la même chose que leur conjoint et le plus souvent la « rencontre » était plus dur à supporter pour les serviteurs, il fallait se rendre à l’évidence, ils faisaient exception si il était bien ce qu’elle pensait mais elle ne voyait à vrai dire aucune autre explication à ce qui se passait …

Lorsqu’il s’approcha d’elle d’un pas nonchalant elle se mit à trembler de peur et de plaisir à la fois il lui demanda alors si elle se moquait de lui, elle s’inclina et dit

"Non jamais je n’oserai … maître …"

Elle avait hésitait à l’appeler ainsi non encor sur qu’il était bien celui qu’elle attendait depuis toujours …

Pourquoi avait-elle ce regard ? Pourquoi l’avait-elle appelé maître, qu’est ce qui se passait ? Evidemment il trouvait toute femme belle, mais de la a rougir devant elle, c’était du grand n’importe quoi pour lui, la situation lui échappait, son corps n’arrivait même pas a être un peu hostile, son esprit était chamboulé, il n’avait jamais eu ça a un tel degré, cet envie de domination, d’harmonie avec elle. Il ne voyait pas pourquoi, il ne se voyait pas commander une femme plus forte que lui, et encore moins être amie avec elle si c’était le cas. Il recula.

« Qu’est ce que tu viens de dire… ça rime a quoi ? Tu as quelque chose à voir avec la douleur qui m’a traversé ? »

Il était inquiet, si elle avait fait ça aussi facilement, alors il n’avait quasiment aucune chance contre elle. Il essaya de ne montrer aucun signe de faiblesse dans son attitude mais il commençait à redouter chaque mouvement, comme si il serait étalé par la douleur au moindre geste. A se demander qui serait le maître entre les deux.

Bon ok, c'était pour caméra caché, il y avait un gars a la caméra pas loin qui se ploilait devant sa réaction, c'était pas possible autrement, jamais aucune fille digne de bon sens et de bon gout lui demanderait pardon simplement pour ne pouvoir lui dire quelque chose, d'ailleurs lui dire quoi, elle allait lui faire une délcaration amoureuse en public et en direct ou quoi? Il essaya de se calmer, bon, il y avait peu de chance que caméra caché filme un tel acte... et elle devait certainement avoir un problème, peut être allait-elle le menacer, ou elle était follen scyzophrène? Peut être qu'elel allait mourir et qu'elle voulait lui dire ses dernières volontés, où elle était enceinte et allait accoucher ou...

Après avoir arréter son esprit de fabriquer dix huits milles téhories a la suite, il se calma, et bizarrement acquiesa gentiment, comme si cela était normal que cette parfaite inconnue soit terriblement géné devant lui, s'excuse trois fois et lui demande de parler plus loin, bon après tout a ce stade, il ne fallait mieux pas chercher car elle pouvait lui donner les réponses a ces questions.

" Ne t'excuse pas inutilement, allons plus loin si tu le veux mais dis moi, parce que la, je suis perdu. Tu me veux me tabasser dans un coin tranquille? C'est pour ca? "

Bon la il avait un sérieux problème, cette fille semblait sérieuse, il avança de quelque pas puis lui fit signe de l’accompagner, ils allèrent dans une ruelle sombre et apparemment inhabité depuis quelque temps, il regarda autour puis reporta son attention sur elle. Il eut un petit cri, elle le regardait d’une façon si admirative et si sincère qu’il en était gêné, a quoi jouait-elle ? On n’avait pas le coup de foudre en a peine trois secondes avec un individu dont on a vu qu’il se jouait de pauvre enfant dans le besoin, tout ça n’était pas normal ! Sur le coups, il ne pense pas a profiter de quoi que ce soit. Il s’adossa contre le mur, serra les bras et la regarda, essayant de se calmé.

« Alors, que voulais tu me dire ? J’aimerais bien savoir pourquoi j’ai eu mal en te voyant, et pourquoi tu as eu apparemment la même chose. J’ai l’impression que tu sait ce qui se passe, alors pourrais tu m’expliquer… s’il te plait. »

Les derniers mots avaient été prononcés sans le vouloir, en la regardant dans les yeux. Comme si il ne pouvait être désagréable avec cette fille qui avait un air de chien soumis et effrayer… par lui ? Il commençait a croire que son ego montait en puissance.

Il l’avait écouté, bizarrement, il la croyait, sans aucune preuve, il croyait cette jeune femme, comme si il était normal d’avoir un serviteur, comme si cela tenait la route, mais malgré lui, il se faisait un peu de mal a l’idée d’être un… sacrifice ? Qu’est ce qu’un sacrifice ? Le mot lui était légèrement effrayant. Mais apparemment il était son maître, et en cela, il avait du mal a l’accepter, cela voulait dire que théoriquement, elle était a lui. Comment cette fille pouvait accepter aussi facilement d’appartenir à une personne tel que lui, cela le dépassait. Il réfléchissa quelque minute puis la regarda, essayant d’être sérieux.

« Donc si j’applique ce que tu es en train de me dire, tu es en quelque sorte mon épée et moi… ton bouclier ? La notion d’encaisser ce qu’elle subissait lui était venu automatiquement. D’accord… mais est ce que tu insinue que si je te dis quelque, tu le feras comme : Déshabille toi ! »

Il l’avait dis comme un ordre sans le vouloir, évidemment il avait voulu faire un exemple pervers pour bien qu’elle lui réponde, mais il ne se rendait pas compte de son pouvoir, non pas par le lien, mais c’était elle qui formait ce pouvoir.

Il la regarde au début incrédule puis poussa un cri, il n’arrivait pas a lui dire de s’arrêter, il n’arrivait pas a y croire, elle le faisais ! Elle étais en train de se déshabiller, il eut un petit cri, son cœur s’accélérait, mais qu’elle arrête, qu’elle le gifle, ce n’étais pas possible.. un pouvoir pareil, mais la, il sentait qu’il allait exploser. Il prit ses deux mains pour qu’elle arrête, elle était en sous vêtements. Il eut un rougissement, et il s’excusa, il eut une humilité totale, sur le coups, il n’arrivais pas a penser a des façons perverse de se servir d’elle, non, il voulais juste… être sur.

« Donc… je ne suis plus… seul ? Je te remercie.. ah désolé, rhabille toi, mais je préfère te prévenir, je ne suis pas ce genre de personne gentille et tout, tu es une arme a mes yeux n’espère pas que… que je sois content de t’avoir ! Mensonge évidemment vu qu’il rougissait et avait souris. Enfin bon, ravie de te connaître… enfin non ! Bref… je me nomme Samuel, désolé de t’infliger ma présence…comment tu t’appelles ? »

" Kim... ca sera suffisant. Bien... bon rhabille toi, ca me gène auatnt que toi. "

Ca avait beau le géner, ca le faisait surtout rougir, c'était une belle, même très belle demoiselle. Mais poru l'instant, le plus important était qu'il rélféchisse dans un endroit calme... il n'en avait pas, une fois qu'elle fut rhabillé, il lui prit la main et la fit sortir des dédales d'immeuble, il arriva devant un arret de bus, se retourna vers elle et lui lacha la main, il observa les horaires et lui demande de but en blanc:

" Il faudrait que je dorme chez toi, je n'ai pas de maisons, je suis parti de chez mes parents aujourd'hui... ne me regarde pas comme ca, c'était pour eux, j'allais pas vivre a leurs crochets... ah oublie. Dis moi juste si tu peux m'heberger chez toi, sinon je prendrais un hotel. Il faudrait qu'on parle de... de cet relation. "

Kim trouvait étrange le fait qu’il soit gêné puisque c’était lui qui avait donné l’ordre .. mais elle n’y prêta pas attention trop heureuse pour réfléchir et remis en vitesse ces vêtements.
A peine eu tel refermé le dernier bouton de ça chemise qu’ il lui pris la main et l’amena à toute allure à un arrêt de bus, et desserra enfin son étreinte pour lui demander de l’héberger …
Elle en comprenait pas pourquoi il chercher toujours des excuses à ces actions ni même pourquoi il lui inventait un comportement qu’elle n’avait pas mais en tant que bon serviteur elle fit comme si de rien n’était et répondit à ça demande …

"J’ai une chambre à Gakku Taisen … les maîtres sont autorisé … il n’y aura donc aucun problème "

La fillette n’arrivait pas à comprendre pourquoi son cœur battait si fort à chaque ois qu’il la touchait et encor moins pourquoi elle était déçu lorsqu‘il la lâchait, étais ce ça les secret u lien ?

Il eut un acquiecement, pour l'instant il n'avait rien d'autre a lui dire, il lui reprit la main, comme si il voulait être sur qu'elle n'allait pas s'enfuir dans un coup de vent. Il n'arrivait pas a réaliser, il n'avait jamais entendu parler de lien déja définie entre deux personnes, et elle lui disait que dans son écloe, il serait accepté, quelque chose clochait, comment cela pouvait-être aussi facile. Il ne savait pas, le bus venait d'arriver, il monta dedan,s lui tenant toujurs la main, heureux hasard, il n'y avait personne, il s'intalla a l'arrière. Passer quelque arrêt, il la regarda et parla cette fois d'un ton plus posé:

" Donc tu t'appele Kim, je suis ton maitre... Et je peux habiter la où tu est... d'accord, dis moi quand nous nous arréterons, une fois arriver on parlera un peu de toi. Il ya pas mal de chose que je dois savoir. "

Pour l'instant il était poli, mais dans son cerveau, des tas d'idées toute aussi perverse, horrible et douce lui vinrent dans la tête, quel destin choisr?

Il était assez ennuyé, il ne voulait pas l'obliger a parler, malgré toute la méchanceté dont il pourrait s'obliger a avoir, il ne voulait pas obliger cette jeune fille a lui parler si elle ne le voulait pas mais il avait l'impression qu'un malaise s'installait et il detestait cela. Il la suivit et regarda le batiment, il semblait normal, bon il mis ses doutes de cotés et eut un petit sourire lorsqu'elle lui tint la porte, ce genre d'attention lui plaisait toujours, d'habitude il aimait faire cela. Il remarqua qu'il souriait plus et était plus en paix depuis qu'elle était présente, il marcha devant au début puis se retourna, il avait un grand sourire sur le visage:

" Alors c'est ici que tu habite? J'espère que je ne vais pas me perdre... Mais n'hésite pas a parler tu sait, ca me gène d'être le seul a discuter. Mais je t'oblige pas, soyons bien d'accord! Une parole sincère et voulu est toujours la meilleure, même lorsqu'elle nous critique. "

Il était joyeux, il avait l'impression que cette fille lui offrait une nouvelle vie, un nouveau foyer. Il n'arrivait pas a être mauvais, ces instants de bonheur lui était inconmesurable.

A l’idée de le critiquer Kim fut effrayer… jamais elle n’avait eu le droit de critiquer quelqu’un, alors on maître il était hors de question !

"Jamais… je n’ai pas vous juger … "

Ils traversèrent la cour avant de se retrouver devant une immense porte en bois que la fillette ouvrit à nouveau pour laisser passer son maître devant elle.
Il débouchèrent alors dans un grand hall

"Souhaitait vous visitez, ou tous de suite vous rendre dans ma chambre ? Ou peut être préféré vous que je vous dicte les règles de l ‘établissement afin de vous familiarisez le plus tôt possible.."

[dsl vite fait jdoi quitter ^^]

Samuel l’écouta attentivement, il ferma les yeux et réfléchissa, selon tout logique, le plus simple serait déjà d’aller chez elle. Elle pourrait lui parler de l’établissement en marchant pour ce qui était des détails sur son rôle de sacrifice et autre, il verrait cela chez elle. Il avança un peu puis observa le bâtiment tout en donnant sa réponse:

« Parle moi donc de cet endroit en marchant, nous allons aller chez toi, cela sera calme pour parler, non ? Allez viens, je connais pas le bâtiment, conduit moi. Mademoiselle Kim. »

Il avait remarqué qu’elle était gêné lorsqu’il s’excusait ou montrait toute trace de soumission ou de politesse envers elle, un maître devait-il forcément traiter son… esclave familièrement ? Qu’elle se rassure, il ne tarderait pas a devenir beaucoup moins… gentil dans ses actions.

* Une arme… une arme humaine, c’est assez intéressant.*

[je te laisse rep la bas^^)